• Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle ...

    Ma DS n'est pas celle que vous croyez.

    Elle me parle souvent à travers un petit boitier noir.

    Elle m'accompagne le soir jusqu'à ce que Morphée s'empare de moi.

    Elle me teste, elle me questionne, elle m'amuse ...

    Je l'écoute, je lui réponds et je m'en occupe.

     

    Ma DS n'est pas celle que vous croyez.

     

    Sa beauté, son raffinement et son élégance

    Ne font pas tout son charme.

    Elle est aussi attachante, subversive et joueuse.

     

    Ma DS n'est pas celle que vous croyez.

     

    Quand l'une disparaît au milieu de la foule sur le quai de la gare, l'autre m'attend chez moi.

    Dans ma chambre, à côté de mon lit ... sur la table de nuit ...

    Le stylet chatouille la cartouche de Zelda, m'invitant dans un combat acharné mais ...

    L'écran restera tout noir. Et peut-être que quand le cœur m'en dira ...

    Pour l'instant mon cœur ne me dit rien de bien.

     

    Bon voyage ma déesse.

     


  • Commentaires

    1
    Lundi 7 Avril 2008 à 16:16
    Baudelaire n'a qu'à bien se tenir
    Je te l'ai déjà dis, je crois ; j'aime te lire
    2
    Mercredi 7 Mai 2008 à 11:07
    Baudelaire
    Bravo Margouilla d'avoir reconnu Les Fleurs du Mal dans le titre.
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